Voilà bien longtemps que je n’ai pas écrit sur mon site, puisque d’une part, je ne roule plus sur mon trike MÉGAPHONE qui m’a bien déçu, et d’autre part à cause des R.S.C.F qui sont devenus des R.S.C.F.N. J’ai donc profité que Jean-Jacques DURET ait décidé de divertir nos amis japonais Hajime et Yui KARASAWA, en visite en son domicile, après qu’ils aient été chez la famille GOVIGNON et avant qu’ils n’aillent chez Marc THOURET, le tout par le train. Jean-Jacques avait pensé les emmener visiter le musée MOTOBÉCANE, à Saint-QUENTIN (02) le Vendredi 20 Octobre 2017 et il m’a demandé si je voulais me joindre à eux.
Les paradoxes sont que, d’une part, ce musée est situé à moins de 60 kilomètres de mon domicile et que, d’autre part, j’ai pourtant possédé deux modèles de la marque, mais que je ne n’y étais encore jamais allé. Ma première moto, en 1971, a été une 175 MOTOCONFORT U23C de 1956 que j’avais bien transformée car elle avait entièrement brûlé, suite à un retour de flamme au carburateur, équipé seulement d’un cornet à filtre, lors de sa première mise en route après l’achat. Je lui avais mis, après coup, un réservoir de 175 PUCH à flancs chromés, des commandes reculées que j’avais moi-même fabriquées, une selle monoplace à dosseret, j’avais remplacé le garde-boue avant par un autre en polyester et découpé celui de l’arrière, j’avais mis un guidon italien (comme appelé à l’époque), un pot d’échappement d’origine inconnue et un compte-tours factice… (voir photo ci-dessous).
Sur la 2° photo, ci-dessous, près de notre chienne “Kiki” et de sa descendance dont je n’ai plus le souvenir des noms, celui qui chevauche ma 175 est paradoxalement Gaël, le seul de mes jeunes frères qui n’aura pas fait de moto car Yvonnick, l'aîné des trois et mon filleul, roule en B.M.W K100 attelée à un “Fox” et le plus jeune, Mickaël, a roulé sur une B.M.W R80 RT1. Les trois demi-frères-motards MEIGNEN auront donc tous roulé un temps sur une B.M.W.
Cette 3° photo, ci-après, vous montre la version originale de ma 175 MOTOCONFORT de 1958, mais en 125 cm3, dans le musée.
Lionel ROUET, un garçon de Saint-MARC-sur-MER (44), près de Saint-NAZAIRE, là où je passais mes vacances, qui était élève du C.E.T associé au lycée de La Chauvinière que je fréquentais à NANTES (44), m’avait vendue cette TOBEC avec laquelle il venait chaque semaine à l’internat, à 70 kilomètres de chez lui, et il est resté fidèle à la marque puisqu’il a possédé ensuite une MOTOBÉCANE 350 L4C, équipée d’un atypique moteur bicylindre en ligne (cylindres l’un derrière l’autre), moto qui fut un échec commercial.
Quinze ans plus tard, j’ai roulé sur une B.F.G 1300 Odyssée construite d’abord à La RAVOIRE (73), puis qui, suite à la faillite de la société B.F.G, a été construite ensuite à Saint-QUENTIN de 1983 à 1988, sous le nouveau nom de la marque : MBK. J’avais imaginé que MBK signifiait “M” pour MAUGENDRE Xavier, importateur KAWASAKI jusque-là, un monsieur d’origine bretonne, décédé en Décembre 2011, “B” pour B.F.G et “K” pour KAWASAKI, 1° actionnaire avant l’arrivée de YAMAHA, d’après ce que j’avais pu lire sur le Net. Xavier MAUGENDRE et KAWASAKI se sépareront en 1982. Il rebondira l’année suivante en reprenant MOTOBÉCANE (qui avait fait faillite) et en créant MBK industrie avec YAMAHA et SACHS dans l’actionnariat. YAMAHA prendra le contrôle total de MBK en 1986.
Un jeune bénévole du Musée et amateur de 125 LT et 350 3 cylindres qui veut garder l’anonymat, m’a expliqué que MBK n’était pas du tout ce que j’avais imaginé, mais que ça venait tout simplement de la contraction de l’indicatif du télex de MOTOBÉCANE qui était “motobkn”. Je connais bien la chose car je me suis occupé des télex pendant 30 ans, jusqu’à l’emergence du fax, aux P.T.T, devenus tour à tour FRANCE-TELECOM puis ORANGE.
J’ai certainement programmé plus d’un millier d’indicatifs de télex pendant 15 ans environ, lors d’installations de téléimprimeurs chez les abonnés (clients dorénavant depuis la privatisation). L’indicatif, pratiquement inviolable par le quidam moyen, était programmé dans l’appareil télex et se déclenchait automatiquement au début de chaque connexion, ce qui validait l’origine de l’envoi du télégramme ou manuellement, comme il était d’usage de pratiquer en fin de message, par appui sur une touche dédiée, avant de couper la communication. Sur les modèles les plus récents, la programmation de l’indicatif se faisait de manière informatique avec une valise de programmation, mais sur les modèles anciens (SAGEM SPE5 et 5A), c’était une petite roue dentée qui contenait 20 barrettes de 5 éléments qu’il fallait coder en cassant les barrettes avec un outil dédié, suivant l’alphabet Baudot. Les barrettes entières actionnaient un contact (+) et les barrettes cassées n’en actionnaient pas (-). Par exemple : ++--+ (ou 11001) était la combinaison du "B" en mode lettre, ou du point d’interrogation "?" en mode chiffre. Outre les signes obligatoires (retour chariot, interligne, inversion lettres, espace, inversion chiffres, 6 chiffres du numéro, inversion lettres, F) il ne restait que 7 emplacements pour la dénomination de la société titulaire du télex. Comme MOTOBÉCANE comporte 10 lettres, il fallait en supprimer et c’est devenu “motobkn”. J’invite tous ceux qui aimeraient en savoir plus à visiter : http://www.dcode.fr/code-baudot. Jamais je n’aurais pensé que j’aurais eu à expliquer tout ça un jour ! Merci à ce jeune bénévole !
Tout d’abord une question, MOTOBÉCANE-MOTOCONFORT… pourquoi deux marques pour des véhicules identiques ? Je vous rapporte les propos de Patrick BARRABÈS, un écrivain toulousain qui est issu d'une famille motocycliste. Patrick BARRABÈS est "tombé dedans" dès l'enfance avec une culture acquise dans l'atelier MOTOBÉCANE paternel (voir publicité plus bas):
MOTOBÉCANE ou MOTOCONFORT par Patrick BARRABÈS
Bien que la majorité des amateurs de motos Françaises sachent que MOTOBÉCANE et MOTOCONFORT ont vendu les mêmes produits sous les deux dénominations, on peut encore trouver dans les allées d’une bourse d’échange ou au fil d’une lettre, des gens qui demandent encore le pourquoi de la chose.
Je vais donc faire un point définitif sur ce sujet. Pour cela, nous allons remonter le temps de presque un siècle et nous retrouver au milieu des années vingt du siècle dernier, ces années dites folles où tout était possible, où les marques naissaient et atteignaient rapidement le zénith ou parfois disparaissaient en quelques semaines. En cette fin 1924, Charles BENOÎT et Abel BARDIN (concepteurs), les pères de la MB1 représentée sur l’affiche originelle en compagnie d’un facteur, se posaient beaucoup de questions. La 175 à courroie directe, par ses qualités de robustesse et d’extrême simplicité avait su conquérir une assez large clientèle. Mais l’élégante motocyclette au réservoir bleu nuit présentait un grave défaut. C’était l’unique modèle produit par les Ateliers de la MOTOBÉCANE dont la santé financière était encore fragile.
Que faire ? Sortir un nouveau modèle était vital, mais les deux concepteurs-associés manquaient encore d’expérience et fabriquer un modèle raté pouvait vite détruire l’image de marque acquise grâce à la MB1 et couler la jeune firme. Décision fut donc prise de construire une machine de plus forte cylindrée, mieux équipée et de finition luxueuse. Les pneus à talons de forte section procurant un confort certain, la nouvelle venue, une 308 cc, fût nommée la MOTOCONFORT. La plaque rivetée sur le carter de magnéto portait l’inscription: MOTOCONFORT MC1 moteur licence MOTOBÉCANE. En cas d’échec du modèle la réputation de la marque n’aurait été que faiblement entachée. Comme nous le savons, ce sombre destin ne s’est jamais réalisé, et la “308”, malgré une production relativement modeste, a suivi une carrière tranquille, émaillée par diverses évolutions jusqu’au début des années 30.
Petite anecdote : sur les catalogues publicitaires, les MOTOBÉCANE sont souvent photographiées du côté gauche et les MOTOCONFORT du côté droit. Ceci est dû au fait qu’un seul prototype était utilisé pour la réalisation des dépliants, avec un réservoir portant un sigle différent de chaque côté.
Les deux dénominations ont survécu très tard, puisqu’un courrier interne paru vers 1979/80, mais que je ne possède malheureusement plus, informait les concessionnaires d’un retour à une marque unique (fin de l’encarté).
(Vous pourrez voir une MB1 de 1928 tourner sur : https://www.youtube.com/watch?v=KxT-uLfTL2M).
Ce qui s’est peu su est que MOTOBÉCANE a gagné le Bol d’Or plusieurs fois : l’édition de 1932, en 500 cm3 avec Guillaume LOVINFOSSE, celle de 1937 : Bol d’Or 250 cm3 avec Roger POINOT, puis 1938 : Bol d’Or 350 cm3 side-cars avec Edouard HORDELALAY et 600 cm3 avec Fernand FRANÇOISE, et enfin 1939 : Bol d’Or 350 cm3 et side-car 600 cm3 avec Edouard HORDELALAY sur l’autodrome de LINAS-MONTLHÉRY (91) à moins de 30 kilomètres au sud de PARIS.
La MOTOCONFORT 175, qui a été ma première moto, se dénommait ForcySuper (sans que je ne le sache à l’époque) U23C et le même modèle chez MOTOBÉCANE s’appelait MobySuper Z23C. Elles auront été construites de 1955 à 1961 dans l’ancienne usine au sud de Saint-QUENTIN, là où a été installé le musée puis, à partir de 1961, dans la nouvelle usine de ROUVROY, à 2,5 kilomètres de là, sur la partie est de Saint-QUENTIN.
Plus de 25 ans plus tard, MBK a acheté tout le stock des motos et des pièces BFG et c’est après avoir été rachetée par YAMAHA que MBK s’est débarrassée de la BFG car elle devait sans doute faire tache dans le catalogue YAMAHA, mais certainement pas par manque de pièces car tout le stock BFG (motos et pièces), soit plusieurs semi-remorques, a été racheté par “L’Atelier PRÉCISION” de SECLIN, là où j’ai acheté ma deuxième moto de la marque, puis par le “Club BFG”. La raison officielle de l’abandon de la BFG est que le marché n’a pas été celui que l’on avait espéré !
Merci Jean-Jacques pour cette photo !
Nous avons déjeuné chez moi, à SOISSONS, en dégustant de savoureuses crêpes bretonnes fourrées que Christiane avait confectionnées la veille, avant qu’elle ne parte à MONTPELLIER en avion pour fêter l’anniversaire d’Edith, une bonne amie enseignante, ex-soissonnaise, qui professe la gymnastique là-bas dorénavant. Puis Jean-Jacques, Hajimé, Yui et moi, sommes tous partis pour Saint-QUENTIN dans la DACIA Duster de Christiane qui roule à l’éthanol, à 0,69 € le litre… qui dit mieux ?
Pas de souci de stationnement au Musée car il est situé dans l’ancienne manufacture MOTOBÉCANE, une ancienne usine de tissage achetée en 1951 et la place pour stationner ne manque pas. Nous pénétrons dans le rez-de-chaussée du Musée et, auprès de Muriel JACOB, une charmante dame chargée de l’accueil, nous achetons nos places au prix de 9,50 € chacune et de deux fois un Euro pour la location temporaire d’un boitier “audio-guide” pour Hajime et Yui. Chaque véhicule est numéroté, vous tapez ce numéro sur l’appareil et on vous donne des explications sur le véhicule, dans la langue de votre choix, sauf japonais, ce qui est étrange et même un comble puisque la société est dorénavant japonaise ! Comprenne qui pourra !
Ce Musée et le village des métiers d’antan qui le juxtapose ont été créés par Roland LAMY, en 2012, après14 années de gestation. C’est un espace totalement surprenant et vraiment hors du temps ! Au rez-de-chaussée il y a tout d'abord une reproduction très réussie de la gare de Saint-QUENTIN et un tramway de 1906, qui reliait à l’époque la gare de Saint-QUENTIN à celle du faubourg d’Isle, posé sur des rails et qui donne l’impression de tout juste arriver !
Á l’étage, vous voyez le village des métiers d'antan, qui présente, sur près de 3.200 m2, 55 thèmes de métiers différents (horloger, tonnelier, menuisier, forgeron, blanchisseuse, charcutier, épicier, quincailler, cafetier, chapelier, plongeur, crémière, photographe, etc...) dont certains n’existent plus, dans des échoppes au look de l’époque le tout agrémenté de reconstitutions étonnantes. Des animations ponctuelles donnent vie à ce village ! Le nom des rues est en partie le nom de ce qui est exposé (rue des Draisiennes, rue des lavandières), et un endroit a été pensé de façon humoristique, telle que “Carrefour de l’Abbé Cane”. Le créateur, Roland LAMY, possède aussi une place à son nom, tout comme Charlemagne, qui détient aussi sa propre rue.
(photos: famille KARASAWA)
On peut y voir des engins qui servaient dans les fêtes foraines dans le temps, notamment un engin fait d’un gros rail qui monte vers le ciel sur une dizaine de mètres avec, dessus, un lourd appareil mobile sur roulettes qu’il fallait pousser afin qu’il monte à l’extrémité et je me souviens qu’un pétard éclatait à ce moment-là. Il y a aussi un bateau pour les plus jeune qui fait balançoire et dont le frein est une planche articulée que l‘on plaque sur le fond du bateau à l’aide d’un levier. Il y a aussi cette classe de primaire plus vraie que nature, avec des pupitres avec encrier et la maîtresse au tableau à la date du Mercredi 29 Juin 1955, classe que Jean-Jacques a trouvée très ressemblante à celle qu’il a fréquentée dans la Creuse à la même date, avec même un élève avec un bonnet d’âne dans un coin du fond de la classe, près du poêle à bois et la morale du jour au tableau. Pour ma part, ma première rentrée a été la rentrée suivante, trois mois plus tard, en Septembre 1955, mais le souvenir de Françoise LELIEVRE, qui a été mon institutrice de maternelle à PLESSÉ (44), presqu’en face le bistrot que tenaient mes parents à l’époque, lorsque j’ai eu 28 mois, et qui a été la première à me donner goût à la langue française, m’est alors revenu. Un problème est posé sur le tableau et je vous invite à le résoudre pour évaluer votre niveau d’instruction ! (suivent trois photos de Jean-Jacques DURET).
Au fond : deux inspecteurs incognito… (photo Jean-Jacques DURET)
Puis on y trouve l'unique musée de France consacré à la mythique marque MOTOBÉCANE. Plus de 120 modèles, exposés dans l'ancienne usine MOTOBÉCANE, dont de très nombreuses “bleues”, le véhicule mythique de la marque, ainsi que quelques YAMAHA, rappellent une étonnante et brillante épopée industrielle !
On peut y voir un Grand-Bi et un modèle plus petit (voir photo ci-dessus) puis lire toute son histoire sur des panneaux adjacents, on y voit également un prototype commandé par “La POSTE” pour un cyclo avec une grande roue supplémentaire de chaque côté entre les roues avant et arrière. C’est finalement un quad, mais pas en carré ou en rectangle, mais en losange. Il reste en position route si vous le quittez et il libère les facteurs du souci de stationnement, puisqu’ils doivent mettre, à chaque arrêt, une pédale sur le trottoir pour garder le vélo droit au bord du caniveau, ce qui doit finir par être lassant.
Ce projet n’a pas abouti et, après avoir acheté des centaines de quad MATRA et LIGIER, c’est finalement un autre système, plus simple et certainement moins coûteux, que La Poste a adopté, soit deux roulettes latérales qui vont au sol derrière la roue avant du vélo du facteur, en tirant vers soi un long levier.
Vous pourrez découvrir également une collection de véhicules hippomobiles et d'objets rares ou insolites. Une visite magique pour tous les âges ! Hajime et Yui se sont amusés de savoir que c’était une marque japonaise, YAMAHA, qui avait racheté la marque MOTOBÉCANE en 1986 et j’ai pris Yui en photo près le la B.F.G pratiquement de la même couleur (bleu Gendarmerie) qu’était la mienne en bleu métallisé, près d’une YAMAHA qui a couru le PARIS-DAKAR.
MOTOBÉCANE, c’est aussi SOLEX que la société a repris en 1974, avec 51% des parts, mais l’aventure prendra fin en 1988. Elle se poursuivra dix ans plus tard avec une filiale de FIAT, mais une faillite y mettra un terme. Le SOLEX deviendra ensuite électrique sous diverses appellation (e-Solex, VéloSolex, VélosoleX, Solexcity). La marque est enfin rachetée en 2013 par Easybike et une production sera relocalisée en France, à Saint-LÔ (50), d’où sortiront 3 nouveaux modèles, l’“Infinity”, le “Trekking” et le “Dirt”. Quelques modèles sont exposée à Saint-QUENTIN, dont un Solex avec le moteur sur la roue arrière mais je n’ai pas le souvenir de l’avoir déjà vu rouler . Il a dû rester prototype:
J’ai pris une vingtaine de photos que j’ai mis sur mon Cloud personnel, j’y ai ajouté les photos prises par Jean-Jacques et Hajime m’a envoyé un CD qui en contenait 212 (les Japonais et la photo, c’est bien connu). J’ai retiré les photos qui concernaient sa vie privée et j’ai mis sur mon Cloud les photos prises à Saint-QUENTIN. Je vous indiquerai prochainement, ici, le code d'accès si vous désirez les visionner.
La durée estimée de la visite des deux musées est de 2 à 3 heures. Ils sont accessibles aux personnes à mobilité réduite et le parking est gratuit. Si vous venez en train (1H30 de PARIS), la gare est à 12 minutes à pied. La prise de photos y est autorisée. Vous pourrez même prendre un café sur place !
Ce musée est le 3° site axonais le plus visité après le Familistère de GUISE et la Caverne du Dragon, à CRAONNE, sur le Chemin des Dames, au milieu du triangle SOISSONS-REIMS-LAON.
Le site est ouvert du 1° Octobre au 30 Avril de 14 à 18 heures et du 2 Mai au 30 Septembre de 9 à 12 heures et de 14 à 18 heures. Il est fermé tous les Dimanches matin ainsi que tous les Lundis matin et après-midi, et les lendemains de Noël et du Nouvel An. La fermeture de la billetterie se fait chaque jour à 17 heures.
J’avoue avoir eu un petit pincement au cœur en visitant le lieu où avait été construite ma première moto alors que j’avais 4 ans et que, à l’époque, je ne pensais évidemment pas encore à la moto. C’est aussi là, du moins à quelques kilomètres, qu’avait été construite ma 2° B.F.G. Je vous souhaite également une bonne visite.
Paul MEIGNEN